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Sunday, 9 December 2012

1855: pressure growing

La Revue du Vin de France follow up story

Following the news that Jean-Pierre Meyers, one of France's leading business people and who has long been an investor in 1855, has thrown in the sponge and liquidated his investment in the company, pressure is clearly growing on this toxically mismanaged company. 

La Revue du Vin de France followed up their story (5.12.12.) of Meyers pulling out with news that some of the leading Bordeaux producers are considering taking 1855 to court along with threats from the Abus1855 group. 

'L’affaire 1855 met le tribunal de Bordeaux sous pression
Plusieurs propriétaires bordelais envisagent sérieusement de porter plainte contre le site 1855. Une perspective qui embarrasse le tribunal de Bordeaux, déjà en charge de l’instruction de l’affaire Bettencourt, dans laquelle Jean-Pierre Meyers, gendre de l’héritière de l’Oréal et longtemps actionnaire de 1855, est déjà partie prenante.

L’affaire 1855 commence à devenir embarrassante pour le tribunal de Bordeaux. Non pas tant à cause des remous suscités au sein du monde viticole, mais parce que le nom de l’un des principaux actionnaires du site, Jean-Pierre Meyers, y a longtemps été associé. Bien qu’il se soit retiré du capital de l’entreprise voilà deux mois et demi, M. Meyers est l’époux de Françoise Bettencourt, principale plaignante de la plus grosse affaire instruite aujourd’hui à Bordeaux : celle de l’abus de faiblesse dont la mère de cette dernière, Liliane, héritière de l’Oréal, aurait été la victime. Ayant déjà fort à faire avec ce sujet ultra-sensible, les magistrats bordelais ne veulent pas voir les deux dossiers se télescoper.'


Challenges.fr followed on 6th November with an article that covered Meyers pulling out along with the suggestion that legal action might be considered against Jean-Pierre Meyers for supporting an 'arnaque'. 
 

'6.12.12
Les déboires de la société 1855
Alors que les plaintes de clients lésés se multiplient, Jean-Pierre Meyers, le gendre de Liliane Bettencourt, a décidé de ne plus apporter son soutien financier au site de vente en ligne de vins.

Rien ne va plus pour le site de vente de vins en ligne 1855. Cofondé par Emeric Sauty de Chalon, 1855 vient de perdre l’un de ses plus importants soutiens. Considéré comme l’un de ses principaux actionnaires, Jean-Pierre Meyers, époux de Françoise Bettencourt (fille de Liliane), dont la famille contrôle 30,8% de L’Oréal s’est retiré du capital en toute discrétion, selon nos confrères de la Revue du Vin de France (RVF).

Après avoir investi près de 10 millions d’euros en huit ans, l’homme d’affaires a décidé de jeter l’éponge. Et pour cause. 1855 accumule les récriminations de ses clients qui se plaignent fréquemment de ne pas être livrés. Au printemps 2012, la justice a été saisie du dossier et le site de ventes de vins condamné à trois reprises par les tribunaux de Bordeaux et d’Arcachon pour défaut de livraison des vins.'

Read the rest here.

See also article on Abus1855 – J-P Meyers jette l'éponge (J-P Meyers throws in the towel.
 

 

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